Eric Roy ne s'y trompe pas. Le coach brestois sait que son équipe va tomber sur un OM revanchard samedi au Vélodrome. Après la défaite frustrante contre l'Atalanta (0-1) mercredi soir, marquée par une main litigieuse d'Ederson en toute fin de match, les Phocéens auront plus que jamais à coeur de rebondir.
"Le scénario du match de l'Atalanta va forcément leur donner un supplément d'âme", prévient l'entraîneur breton en conférence de presse. Une analyse lucide du technicien, qui évoque cette main non sifflée dans la surface italienne ayant précédé le but assassin de Samardzic. Une décision arbitrale qui a fait exploser Roberto De Zerbi et Mehdi Benatia après la rencontre.
Pour Marseille, l'opportunité est belle. En cas de succès, l'OM prendrait provisoirement la tête de la Ligue 1 avec 25 points, devançant le PSG (24 points) avant que les Parisiens ne jouent dimanche. Une occasion en or de mettre la pression sur le champion en titre avant la trêve internationale.
Mais Roy n'est pas vraiment rassuré avant d'atterrir à Marseille : "Je ne suis pas certain qu'il soit préférable de les affronter après qu'ils aient marqué 4 buts contre l'Atalanta ou dans cette situation".
Face à un Stade Brestois qui lutte en milieu de tableau (13e avec 10 points), les hommes de De Zerbi n'auront pas droit à l'erreur. Les Bretons, tenus en échec par Lyon (0-0) le weekend dernier malgré une supériorité numérique dès la 7e minute, cherchent eux aussi à lancer définitivement leur saison.
Le Vélodrome devrait faire bloc derrière son équipe à 17h ce samedi. Après le sentiment de vol exprimé par Benatia – "c'est un vol, c'est une honte" – et la colère généralisée post-Atalanta, l'enceinte phocéenne promet d'être bouillante. Eric Roy est prévenu : ses joueurs vont affronter une formation blessée dans son orgueil, animée par une rage de vaincre décuplée.
"Le scénario du match de l'Atalanta va forcément leur donner un supplément d'âme", prévient l'entraîneur breton en conférence de presse. Une analyse lucide du technicien, qui évoque cette main non sifflée dans la surface italienne ayant précédé le but assassin de Samardzic. Une décision arbitrale qui a fait exploser Roberto De Zerbi et Mehdi Benatia après la rencontre.
Pour Marseille, l'opportunité est belle. En cas de succès, l'OM prendrait provisoirement la tête de la Ligue 1 avec 25 points, devançant le PSG (24 points) avant que les Parisiens ne jouent dimanche. Une occasion en or de mettre la pression sur le champion en titre avant la trêve internationale.
Mais Roy n'est pas vraiment rassuré avant d'atterrir à Marseille : "Je ne suis pas certain qu'il soit préférable de les affronter après qu'ils aient marqué 4 buts contre l'Atalanta ou dans cette situation".
Face à un Stade Brestois qui lutte en milieu de tableau (13e avec 10 points), les hommes de De Zerbi n'auront pas droit à l'erreur. Les Bretons, tenus en échec par Lyon (0-0) le weekend dernier malgré une supériorité numérique dès la 7e minute, cherchent eux aussi à lancer définitivement leur saison.
Le Vélodrome devrait faire bloc derrière son équipe à 17h ce samedi. Après le sentiment de vol exprimé par Benatia – "c'est un vol, c'est une honte" – et la colère généralisée post-Atalanta, l'enceinte phocéenne promet d'être bouillante. Eric Roy est prévenu : ses joueurs vont affronter une formation blessée dans son orgueil, animée par une rage de vaincre décuplée.






